Etats-Unis

VISITER LE MoPOP, L’INCROYABLE MUSÉE DE LA POP CULTURE À SEATTLE

Visiter le MoPOP, le musée de la Pop Culture de Seattle fait partie des incontournables. Ce musée pas comme les autres réunit à lui seul des domaines aussi variés et passionnants que la musique Rock, la science-fiction, ou encore les films d’horreurs. Un concentré de culture à la fois populaire et alternative que je te propose de découvrir avec moi.
Suis le guide, je t’emmène visiter le musée le plus cool au monde ! 


Contexte et disclaimer

Septembre 2019. Plus d’un an a passé depuis ma découverte du MoPOP.
Mes souvenirs, écrits il y a des mois, sont pourtant intacts dans ma mémoire. Aujourd’hui, en cette année 2020 frappée par le Covid, ce lieu unique est actuellement fermé et se bat pour ne pas trop souffrir de la situation.

Pour cela, ils ont organisé il y a quelques jours une soirée spéciale de levée de fonds, en rendant hommage par la même occasion au groupe Alice in Chains. Quel autre lieu pourrait mettre ainsi en avant les 33 ans de carrière de ce Big Four du grunge ? À l’heure où la musique populaire atteint des sommets de médiocrité et d’autotune, cet évènement authentique donne de l’espoir et un juste retour des choses. 2h30 de show ont été diffusés en direct autour de ces parrains de choix qui occupent une place toute particulière pour moi.
Le coup de pouce et la motivation dont j’avais besoin pour enfin partager ma propre expérience au cœur de ce lieu chargé de passion.

Mais le MoPOP, c’est quoi au juste ?

Je t’invite à te plonger dans l’univers d’Alice in Chains et du MoPOP juste ici


Le musée MoPOP de Seattle

Le MoPOP, c’est d’abord l’histoire unique d’un projet un peu fou, vraiment unique, et totalement Rock n’ Roll. Fondé en 2000 et financé par le richissime patron de Microsoft, Paul Allen et sa sœur Jody, il célèbre cette année ses 20 ans, dans un contexte des plus difficiles. Mais à l’instar de son style musical de prédilection qui ne meurt jamais, le musée met toute son énergie pour survivre.

Une précision de taille pour commencer : le MoPOP est loin de n’être qu’un musée. C’est un véritable projet d’envergure qui va au-delà des expositions qu’il propose. De nombreuses ressources éducatives y sont produites, des concours ouverts aux groupes, des ateliers musicaux, conférences ou encore des échanges entre musées. Le tout dans un esprit de créativité et de spectacles live permanents. Un haut lieu culturel, dans sa plus glorieuse expression.

Un incontournable de Seattle

D’abord nommé « Experience Music Project » et « Science Fiction Museum and Hall of Fame » (EMP|SFM), il devient « EMP Museum » jusqu’en novembre 2016. Tu le trouveras donc encore présenté sous ce nom dans des guides ou d’anciens articles.
Depuis 2016, son nom change officiellement pour Museum of Pop Culture, mettant ainsi en avant son aspect plus large.
En effet, même si une grande partie de son contenu reste attaché à cet art, une belle part est consacrée à d’autres aspect de la culture pop.

Situé au coeur de Seattle, tout proche de la mythique Space Needle, le musée étale ses 13 000 m2 dans un cadre parfait. Une place de choix à la hauteur du lieu désigné par le grand architecte Frank Gehry.


Le Design unique du musée MoPOP

Un soin apporté au design qui séduit dès l’arrivée. Au-dessus de l’entrée, une sculpture dorée accroche la lumière et le regard. Elle est supposée représenter un ou plusieurs corps de guitares distordues et entrelacées.  En tout cas, l’oeuvre tout en volutes et en brillance a clairement de la gueule et met tout de suite dans l’ambiance. En prenant un peu de recul, on réalise que le bâtiment en entier est une vraie oeuvre contemporaine. Jusque dans les couleurs choisies et les techniques utilisées pour façonner les plaques d’aluminium qui la constitue, tout en pourpre, bleu et or. Unique et fascinant.

Détail sympa supplémentaire, le monorail passe juste au-dessus du musée. Seattle fait en effet partie de ces villes ayant opté pour ce moyen de transport à la fois historique et au petit coté futuriste. Le train glisse et s’envole au-dessus de nos têtes. Mais le spectacle est à l’intérieur, entrons !


Les billets étaient réservables en ligne pour économiser 2 dollars par entrée. Nous ne l’avons pas fait pour éviter des frais bancaires qui annuleraient l’économie. Pourtant, au moment d’arriver en caisse et d’échanger un peu avec la sympathique employée, celle-ci nous fait bénéficier du tarif réduit ! Tout ça parce qu’on a parlé de Montréal 🙂
D’une humeur radieuse, je lis rapidement le panneau qui nous accueille.
Là encore, on pourrait difficilement être plus attirant. Alors, musique, films d’horreur, science-fiction ?

Tickets pour le bonheur juste ici


Je décide de commencer en douceur avec la Science-Fiction, en sous-sol. Mais c’est bien la partie dédiée au cinéma d’horreur qui m’appelle de sa voix rauque…La science attendra, je réponds à l’appel, et franchis la porte qui me sépare de l’expo « Scared to Death« .


Scared to Death au musée MoPOP

Et là, c’est mon Noël particulier, mon petit paradis à moi. Bon ok, plutôt Halloween et une certaine ambiance infernale, mais tu saisis l’idée. Lumière écarlate, musique et bruitages horrifiques, extraits de films diffusés en boucle, monstres dans tous les coins, gentiment rangés sous verre.

En un clin d’oeil, le ton est donné.

Si tu es toi-même fan de cet univers, il n’y a aucun doute : le musée a bien fait les choses et tu vas passer un moment mémorable. Évitant le piège du kitch, la décoration et l’agencement sont tout en mystère et en une certaine classe (oui oui), sans reculer devant quelques éléments graphiques. Si tu es du genre à te cacher les yeux devant un film d’horreur ou dormir la lumière allumée, c’est le moment ou jamais de t’amuser et de dépasser tes craintes.

Le comité d’accueil t’attend

Les heures de gloire du cinéma d’horreur sont peut-être ternies ces dernières années, à grands coups de production ridicules et bâclées. Mais l’univers de l’horreur a tellement à dire. Sur la société, les tendances, mais sur nous-même également. Nos peurs intimes, nos travers, nos combats.

Lutter contre la violence du monde à grands renforts d’hémoglobine. Repousser l’angoisse de la mort en regardant en face les fantômes qui nous hantent. Dépasser nos faiblesses en affrontant nos propres démons…

Cette exposition en est un bon exemple et donne la parole aux oubliés et rebuts du 7ᵉ art. Entre frissons et fascination,
Dans un espace assez restreint, les accessoires et costumes s’incluent dans un décor à l’ambiance extrêmement soignée, accompagné de nombreuses anecdotes et analyses.

L’aquarium de The Walking Dead : une idée décoration à adopter


Univers vampirique (de Dracula aux véritables pieux de la série Buffy), zombies (la scène de l’aquarium dans Walking Dead prendra une dimension beaucoup plus réelle), et monstres variés, entre serial-killers et créatures stars bien connus des amateurs. Tout le monde est là pour la plus jouissive des galeries des horreurs.

J’ai passé un long moment dans cet univers décalé et passionné, dark mais toujours ludique.

Tu as toujours voulu poser dans un cercueil capitonné, te confronter à une horde de morts-vivants, plonger les yeux (et les mains) dans la TV hantée de Poltergheist ou encore jouer les acteurs coté victime ou psychopathe ?

Tu vas adorer Scared to Death !

Arbalète et vitraux : vade retro vampires
Trop de TV n’a jamais tué personne. Si ?

Infinite Worlds of Science Fiction

« To those who have looked to the stars and wondered, your journey begins here… ».

Pour rester dans le cinéma, retour vers le sous-sol et l’exposition « Infinite Worlds of Science Fiction » qui comblera les fans de Star Trek, Men in Black, Retour vers le Futur et autres classiques d’ici et d’ailleurs. Là encore, le décor est ultra-soigné et de nombreux costumes et accessoires mythiques attendent les terriens.

Tu pourras prendre les commande d’un vaisseau spatial et assurer plusieurs missions, tout en faisant le plein de souvenirs d’enfance et d’adolescence partout où se pose le regard.
Un vrai voyage dans l’espace et le temps. L’émerveillement est partout et se poursuit vers une nouvelle exposition.

Une mission spatiale rondement menée

Worlds of Myths and Magic


Place au monde de la fantasy et de la magie avec  » Fantasy : « Worlds of Myths and Magic« . Un univers onirique où l’imagination est à l’honneur.
Là encore, le décor est travaillé, tout en délicatesse. Le mystère et la magie courent du sol au plafond (à l’instar de ce dragon aux écailles métalliques qui pourrait se réveiller à tout moment).

Viens créer ton propre monde et te rêver en auteur de romans fantastiques. Tu pourras aussi découvrir tes alter egos sorcières ou elfes, prendre la pose sur un trône unique et en apprendre plus sur les films cultes comme Harry Potter, le Seigneur des Anneaux ou encore Le Magicien d’Oz.
Une bien jolie visite tout en évasion.

Joli passage secret qui mène directement dans le bureau de J.R.R Tolkien


Mais la Pop Culture ne serait pas complète sans la seconde grande partie de ma journée au musée : la musique ! Seattle (et fondateurs fans de Rock), oblige, c’est vers ce style musical et ses déclinaisons que l’accent est mis, pour mon plus grand bonheur.
Deux expositions mettent à l’honneur deux géants du grunge from Seattle. Pearl Jam et bien entendu, Nirvana.
Je choisis de commencer par la bande d’Eddie Vedder.


Pearl Jam : Home and Away


L’exposition, validée et alimentée par le groupe lui-même. On y retrace l’histoire de Pearl Jam, et y retrouve beaucoup d’objets personnels. L’occasion unique d’approcher les lettres néons qui ont orné la pochette de l’album Ten et d’autres raretés qui raviront les fans, dont moi.

Les mythiques néons de l’album Ten de Pearl Jam


Un de mes coups de cœur : la chemise mi flanelle mi perfecto qu’Eddie porte dans le clip de Hunger Strike avec Chris Cornell. Une vidéo qui m’a toujours fait rêver et qui a d’ailleurs été tournée sur une plage pas très loin d’ici.

Jamais un vêtement ne m’aura apporté autant d’émotions
Le clip culte de Temple of the Dog : sauras-tu retrouver la chemise ?

Second coup de cœur, la réplique d’une salle de répétition, qui nous invite dans l’ambiance créative et bouillonnante propre à Pearl Jam. En bonus, la visite se fait au son du groupe. Photos et extraits de concerts sont aussi diffusés, l’immersion est totale. J’en sors pleine de bonne énergie, encore plus en phase avec Seattle et sa personnalité unique.


Un concentré d’années 90 selon Pearl Jam
Vue d’ensemble sur l’exposition Pearl Jam
Salle de répétition : vous cherchez pas une chanteuses les gars ?

La prochaine exposition fini de me combler avec un focus sur Nirvana.


Exposition Nirvana au Musée MoPOP : Taking Punk to the Masses


Concentrée dans un espace finalement assez limité, c’est pourtant une vraie mine d’or qui attend tous les fans. À travers les vitrines, l’histoire du groupe prend et reprend vie. Depuis les tous débuts, déterminés, mais hasardeux, jusqu’à l’explosion éclatante face au reste du monde, avant de se consumer en vol.


L’exposition ultra documentée de Nirvana

Photos rares, instruments, vêtements, dessins, on peut presque toucher du doigt ces bouts d’histoire de la musique, tellement chargés et vibrants de vie. L’exposition a beau être parfaitement organisée, j’ai du mal à suivre un ordre précis dans cette profusion d’objets. Je passe et repasse, lis les petits caractères, me plonge avec nostalgie dans ces vestiges. Comme pour les autres expositions, un soin particulier est apporté aux détails et aux anecdotes. Il y a à voir, à lire, à écouter et à ressentir. Pas besoin d’être musicien soi-même pour réaliser toute l’ampleur du phénomène, et de son indiscutable authenticité. Tout ici transpire l’honnêteté, la rage, le talent et la détermination.

Nirvana conserve une aura inégalable, un statut à part, et c’est un honneur particulier d’avoir pu découvrir cette exposition au coeur même de Seattle. Tout un symbole.



En parlant de cœur, le mien déborde dans ce musée pas comme les autres qui n’en fini pas de m’étonner. Voir ainsi célébrés les groupes qui accompagnent ma vie depuis tant d’années à quelque chose de franchement inespéré. Chaque minute passée ici se savoure et se vit intensément.


Encore un peu de guitares au musée MoPOP ?

Pour rester dans le thème musical, on passe par une belle galerie rétrospective d’une vingtaine de guitares mythiques qui ont changé le monde, des années 1770 à aujourd’hui.

Et que serait un musée sur la musique de Seattle sans une partie dédiée au maitre Jimi Hendrix, autre prodige du club des 27 ?


Wild Blue Angel: Hendrix Abroad, 1966-1970

On oublie en effet que Seattle était avant tout la ville du guitariste, avant que les rebelles du grunge ne viennent malgré eux y associer cette nouvelle vague. Ici, l’accent est mis sur l’apogée de la courte carrière de Jimi Hendrix et ses années sur les routes qui l’ont menées au sommet de son art.
Photos, guitares, accessoires de l’époque Woodstock nous propulsent directement au coeur de cette période haute en couleurs.


Des extraits de son journal personnel peuvent être feuilletés, et je les lis avidement page après page. Les écrits me parlent forcément…Passionnante incursion dans la vie trépidante d’un génie qui allait marquer à tout jamais l’histoire de la musique.


Prince from Minneapolis

Autre figure incontournable et regrettée, dans un tout autre style, lieu et époque : Prince from Minneapolis. Cette exposition offre un regard tout en photographies sur l’univers coloré de la star. Deux costumes tirés du film Purple Rain, ainsi que la moto culte viennent éblouir la courte visite.


Exposition hommage à l’artiste multi talents Prince


Les heures ont déjà défilé et ils nous reste une dernière étape de choix à explorer : le dernier étage du musée qui n’est autre qu’un lieu dédié à la pratique et à l’enregistrement de la musique.


The Sound Lab : ateliers musicaux et studios d’enregistrement au Musée MoPOP


Ici c’est (littéralement) à toi de jouer ! Je précise que mon conjoint est guitariste professionnel, et que je suis chanteuse. Nous enregistrons des covers ensemble depuis quelques années et c’est une passion que l’on partage depuis le premier jour. Un de nos gros manque de nos voyages est de ne pas avoir d’instruments avec nous pour jouer dans des décors insolites. Autant dire qu’on avait plus que hâte de se découvrir cette dernière partie du musée, gardée volontairement à la fin.

Concrètement, voilà comment elle se décompose : des petites salles de répétitions dédiées à chaque instrument sont proposées. Quand elles sont occupées, une petite lumière rouge te signale que tu vas devoir attendre ton tour avant de tout donner. Il est assez facile de se projeter dans un monde parallèle : on est en 1994, je chante dans un groupe et je viens répéter ici.

Au centre de cet étage, des mini ateliers de pratique et découvertes instrumentales attendent les visiteurs. À toi les cours interactifs pour faire tes premiers pas à la batterie ou la guitare. Des morceaux sont décomposés, mesure par mesure, mais tu peux aussi improviser et te laisser aller. Ultra ludique, pédagogique, et tellement fun. 1994 est bien loin, mais voilà au moins un avantage de vivre au 21ᵉ siècle.


Let’s rock in Seattle

Après m’être bien amusée dans la partie percussions, je suis allée m’enfermer dans la salle de chant. Tout y est : casque, micro, pupitres, et bien sûr, Smells Like Teen Spirit de Nirvana en proposition de morceau. La boucle est bouclée, et je suis trop heureuse de profiter de cet instant unique.
Pour finir en beauté, on prend notre ticket pour la gloire : à savoir quelques minutes d’enregistrement dans la salle dédiée. Une fois notre prestation dans la boite, on la recevra ensuite par mail ! On se saisit de la guitare et du micro et c’est parti pour Pearl Jam et Jeff Buckley. On pourra ainsi dire que l’on a joué à Seattle !

J’ai chanté à Seattle les gars !

En sortant de la petite cabine, la vie réelle revient peu à peu. Se pourrait-il que l’on ait passé la journée entière ici ? L’heure de fermeture approche, il va bien falloir dire au revoir au Mopop. Je redescends les marches et peu à peu sur terre. Revenue au rez-de-chaussée, avec un dernier détour vers la vraie scène qui accueille de nombreux concerts.

La véritable scène du Musée MoPOP


Avant de partir, regard admiratif vers l’impressionnante sculpture qui trône au centre du musée, véritable boite de pandore de la six cordes. Des centaines d’instruments, des guitares presque exclusivement sont assemblés et s’envolent jusqu’à donner le tournis. Des petits extraits musicaux sont également joués, programmés par des ordinateurs. Une œuvre surréaliste, bien à l’image du lieu qui l’accueille et de l’expérience vécue ici. C’est à regret que nous nous dirigeons vers la sortie…


La statue de Chris Cornell

Cependant, une dernière pépite m’attend encore à l’extérieur du musée MoPOP. Un dernier clin d’œil, sous la forme d’une statue hautement symbolique, à ne surtout pas manquer. Après Pearl Jam, Alice in Chains et Nirvana, il semblerait qu’un autre géant manque à l’appel…
Je vais à la rencontre d’un Chris Cornell grandeur nature, hommage au musicien et chanteur qui a illuminé la scène de Seattle et du monde, avant de s’éteindre brusquement en 2017.

L’oeuvre a été commandée par Vicky Cornell, sa femme, et c’est en sa présence et celle de leurs enfants que ce Chris immortalisé a été révélé le 7 octobre 2018.

Non, la statue ne rend pas forcément justice au charisme dévastateur de Chris. Néanmoins, l’émotion est là, intense, à me retrouver ici face à un peu de ce qu’il représente. Soundgarden, Temple of the Dog, puis Audioslave, autant de groupes mythiques qui ont vu briller Cornell. Il règne aujourd’hui sur ce petit bout de terrain, prince indestructible au coeur de sa ville.

À noter que cette statue a été tristement vandalisée en août dernier, repeinte grossièrement en blanc. Sa restauration a vite été organisée, vraisemblablement par un fan.

La statue du grand et regretté Chris Cornell

Dream & Rock On

Alors ça y est, on va vraiment devoir se dire au revoir, musée MoPop. Jamais je n’avais passé tant de temps dans un musée. Je n’avais jamais non plus rencontré mes monstres préférés. Pas plus que je n’avais pu voir certains de mes groupes favoris enfin mis en lumière ni chanté à pleins poumons dans un lieu culturel. Tu m’as accueilli avec mes passions, mon goût pour l’étrange et mon amour du rock. M’as ouvert tes portes que j’ai eu du mal à passer en sens inverse.

Finalement, tu résumes à toi seul un de mes mantras qui en dit long :
Dream and Rock On !

Pour la suite du voyage Rock à Seattle, c’est par là


Informations pratiques

Quoi : Museum of Pop Culture MoPOP
Où : 325 5th Ave N, Seattle, WA 98109, États-Unis
Combien : 28 US$ par adulte
Le site Internet du musée MoPOP : www.mopop.org

Ex PVTiste à Montréal de retour en France, minimaliste/multipassions : Viveuse de bonnes aventures qui partage ses périples ailleurs et intérieurs. Espère t'intéresser, te faire voyager, échanger avec toi et changer le monde :)

10 Comments

  • Gaelle

    Waouh merci pour cette immersion totale dans ce merveilleux musée.
    j’imagine tout ce que tu as pu ressentir et tout ce que ca a pu t’apporter.Ca ne m’etonne pas que tu y ai passé autant de temps c’est ton univers. Ca a vraiment l’air d’un musée immense, et toutes les parties sont plus passionnantes les unes que les autres.Merci pour ce bel article qui nous y amene quelques instants, j’en ai savouré chaque extrait et comme toi tu as pu lire les petites lignes la bas j’ai lu avec la plus grande attention et le plus grand interêt chaque de tes mots. j’aurai ete moins a l’aise que toi dans la partie film d’horreur mais j’aurai adoré quand meme.
    Et Nirvana,Pearl Jam ect c’est juste magnifique de se retrouver si proches d’eux au milieu de tous ces objets ou autres personnels.
    J’ecouterai bien ta prestation, en tout cas c’est genial d’avoir pu vivre ce moment.
    Merci pour ce merveilleux voyage a l’interieur de ce musée tes photos et tes mots nous y plonge totalement et c’etait vraiment super de te lire.
    Bravo! Et epoustouflante la sculture,Waouh…

    • Marge

      Merci ma poulette pour ta lecture attentive et ce beau retour. C’était en effet un musée qui semblait construit pour moi 😀
      J’ai adoré ma visite, et j’en garde des souvenirs vraiment forts. Une expérience de dingue dans une ville si symbolique !

  • Celine

    Seattle est sur notre « travel list », on va pouvoir ajouter cette adresse visiblement incontournable pour qui aime le rock. Ton article est très bien écrit, on ressent bien les émotions que tu as voulu faire passer. Tu es vraiment multi-talents!!

    • Marge

      Un grand merci à toi pour ton passage ici, ta lecture et ce beau retour qui me fait vraiment très plaisir ! Je te souhaite de visiter Seattle dès que possible, avec bien sûr un passage dans ce musée unique si le coeur t’en dit 🙂 Merci encore !

  • Charly Far Away

    Je ne connaissais pas du tout mais je suis bouche bée ! Moi qui n’ai jamais vraiment pensé aller un jour à Seattle, là ça change tout. Ce musée semble fantastique et vraiment unique en son genre. Autant je passerai bien la partie « horreur » (sinon tout espoir de sommeil paisible est ruiné pour les jours suivants !), mais alors la partie musicale a l’air absolument fascinante. Merci pour cette belle découverte 🙂

    • Marge

      Merci beaucoup pour ton commentaire ! Je suis heureuse de te faire découvrir cet endroit si particulier, un vrai incontournable à mon humble avis ! Je vais poster deux autres articles autour de Seattle, qui te permettront d’en découvrir encore un peu plus sur l’atmosphère unique de cette ville. Je te la conseille en tout cas, avec ou sans musée 🙂

    • Marge

      Je te souhaite de découvrir Seattle dès que ça sera possible ! J’en garde vraiment des souvenirs uniques, et je suis vraiment contente que tu aies apprécié ta visite virtuelle du MoPOP 🙂 Merci à toi !

  • Clémentine

    Ohlala mais il a l’air absolument génial ce musée ! Je pense que je ferais une crise cardiaque dans la partie Scared to Death ahah mais ça me tente carrément. Je ne connaissais pas du tout, merci pour cette belle découverte !

    • Marge

      Merci beaucoup pour ce retour Clémentine ! Haha je peux comprendre pour la partie Scared to Death, mais je te conseille quand même un petit passage pour affronter tes peurs 🙂 Ravie de t’avoir fait découvrir ce musée vraiment à part ! Merci pour ta visite ici !

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